La Rivière qui vient de loin

Envie d'assister à un spectacle novateur de fiction historique au Parc national de la Jacques-Cartier?

Participe au concours avant le 10 août 12h.

@Marie-Christine Lanthier

Ce parcours déambulatoire où acrobaties, musique TRAD, conte, théâtre, vidéo et danse animeront le paysage grandiose de la vallée sera présenté jusqu’au 18 août

Dans cette œuvre écrite et mise en scène par Arielle De Garie, l’esprit de la rivière est personnifié et visite trois axes historiques.

1682 : La rivière tente de consoler Ashakumu, un père Innu du Piékouagami (Lac-Saint-Jean), qui emprunte des sentiers près de la Daooioli (Rivière Jacques-Cartier) pour se rendre à Wendake dans le but de trouver une femme pour son garçon. Ce père en colère souhaite empêcher son fils d’aimer une femme « blanche ».

1951 : La rivière voit les draveurs comme des surhommes. Par la drave, elle découvre des sensations qu’elle n’avait jamais encore éprouvées. La rivière se sent la maîtresse de ces bûcherons, mais s’intéresse particulièrement à deux d’entre eux, Martial et Lionel, qui s’aventurent dans une amitié interdite.

1972-73 : La rivière assiste à son ultime combat. Hydro-Québec veut y construire des barrages. Cependant, un groupe de Tewkesbury fait naître le comité pour la conservation de la Jacques-Cartier. Marie, la secrétaire, se bat dans l’ombre… mais pour Rivière, qui lui confie son destin, c’est elle la vraie héroïne de la lutte.